Jour 1 : Marseille

UN CONDENSE DE PROVENCE « BONNE MERE »

Bien avant Massalia la cité commerciale phocéenne fut peuplée au paléolithique et au néolithique comme en atteste la grotte Cosquer au sein des calanques et les vestiges mis à jour lors de fouilles proches de la gare Saint-Charles ainsi que la vingtaine de musées couvrant toutes les périodes historiques de la ville. Offrez-vous un parcours photographique haut en couleurs afin de découvrir les classiques incontournables de la ville  - la basilique Notre Dame de la Garde qui veille sur le Vieux Port si cher à Marius, le quartier du Panier, la Canebière et ses immeubles haussmanniens – ou en visitant autrement Marseille côté nature – le Parc Borély, le Parc entre terre et mer du Prado. À ne pas manquer : l’incontournable Château d’If, fortification française du XVIe siècle édifiée sous François Ier qui servit longtemps de prison – notamment Mirabeau y fut emprisonné - et rendue célèbre par Alexandre Dumas dans son roman  Le Comte de Monte-Cristo. Dans tous les cas il faut être « fada » pour vouloir aller plus vite qu’un tuk tuk au lieu de prendre le temps de savourer une authentique bouillabaisse ou encore de siroter nonchalamment un pastis accompagné d’une délicieuse tapenade.

Jour 2 : Palma de Majorque

DE JOUR COMME DE NUIT, PALMA S'APPRÉCIE                 Cette escale sur la plus grande des îles Baléares ne pourra vous laisser indifférent par son éclectisme tant culturel qu’architectural, et vous serez séduit par les eaux d’un bleu turquoise profond qui n’attendent que vous. Premier point de visite immanquable entre le Palais royal de l’Amudaina construit sur un ancien Alcazar musulman et le Palais épiscopal, la Cathédrale la Seu, la 2è plus importante d’Espagne bâtie entre les XIVe et XIXe siècles est de style gothique. Elle offre une vue imprenable sur la baie de Palma, et réunie plusieurs chapelles – dont la Chapelle de la Trinité et la Chapelle Royale de style à la fois gothique et renaissance et transformée par Antonio Gaudi en 1912. Autre monument gothique incontournable, le Castell de Bellver. Après le Passeig des Born, plus importante rue commerçante et point de rencontre de Palma, promenez-vous dans l’ancien quartier aux ruelles pleines de charme et de manoirs des XVII, XVIII et XIXe de style italien. Les amateurs de peinture prendront plaisir à visiter la Fondation Pilar & Joan Miró dédiée au peintre, sculpteur, graveur, céramiste surréaliste. Et surtout les inconditionnels du farniente et des sports nautiques seront ici à la fête. La « fiesta » est l’apanage de Palma et vous aurez le choix entre les bars animés du Paseo Maritimo et le BCM discothèque où de nombreux DJs internationaux vous feront démonstration de leurs prouesses.

Jour 4 : Casablanca

CASABLACA, LA "VILLE BLANCHE" LÉGENDAIRE

Jour 5 : Cadiz - Séville

Jour 6 : Lisbonne

SUR UN AIR DE FADO

Capitale portugaise en bordure de l’Océan Atlantique, construite sur sept collines à l’embouchure du Tage, Lisbonne fut victime d’un tremblement de terre en 1755 qui vit sa reconstruction. D’une beauté envoutante parfois déconcertante elle vous séduira à n’en pas douter. Ne manquez pas de visiter le Monastère des Hiejonimites et le Parc Eduardo VII avec ses caoutchoucs géants. Découvrez les quartiers de l'Alfama et ses ruelles tortueuses puis dévalez les rues en pente en tramway, du Barrio Alto, du Castelo Sao Jorge avec sa vue imprenable sur la ville et le Tage, du Belém et du Chiado, visitez le Château Saint Georges, le Mosteiro dos Jerónimos, l'Océanorium, la Cathédrale Sé et le Musée Calouste-Gulbenkian. Pour une escale gustative dégustez la réputée Caldeirada (potée de poissons cuits) ou des Peistes arrosés d’un Vinho Verde ou encore d’une Capipirihna à l’une des nombreuses tables du quartier de la Baixa ou du Bairro Alto.

Jour 7 : Malaga

MÁLAGA, VITRINE DE L'ANDALOUSIE               

Entre mer et montagne, nichée au creux de deux vallées fluviales, Málaga demeure la station balnéaire andalouse favorite des espagnols ainsi que de nombreux visiteurs du monde entier grâce à un climat privilégié et un ensoleillement de 300 jours par an. A moins qu’il ne s’agisse d’un attrait particulier pour la toile et la « grande toile » puisque Málaga est la ville natale à la fois de Pablo Picasso et d’Antonio Banderas. Vous pourrez d’ailleurs en profiter pour découvrir nombre d’œuvres du peintre cubiste au Musée Picasso situé dans le Palais de Buenavista ou visiter sa Maison natale Plaza de la Merced. Témoignages d’un passé trouble les palais et châteaux du XIe - dont l’incontournable Alcazaba et son château de Gibralfaro - au XIXe siècle - avec le Palais de la Douane de style à la fois néoclassique et renaissance italienne, devenu le siège du Musée des Beaux-Arts – régaleront les amateurs de culture. Incontournable : Profitez de votre escale à Málaga pour partir vers Grenade découvrir  le palais de l’Alhambra et ses féériques jardins. Autre manière de se régaler à Málaga, dégustez les spécialités culinaires de poissons frits tels les anchois ou espetos de sardines (brochettes) cuites à la braise par les chiringuitos.

Jour 8 : Marseille

UN CONDENSE DE PROVENCE « BONNE MERE »

Bien avant Massalia la cité commerciale phocéenne fut peuplée au paléolithique et au néolithique comme en atteste la grotte Cosquer au sein des calanques et les vestiges mis à jour lors de fouilles proches de la gare Saint-Charles ainsi que la vingtaine de musées couvrant toutes les périodes historiques de la ville. Offrez-vous un parcours photographique haut en couleurs afin de découvrir les classiques incontournables de la ville  - la basilique Notre Dame de la Garde qui veille sur le Vieux Port si cher à Marius, le quartier du Panier, la Canebière et ses immeubles haussmanniens – ou en visitant autrement Marseille côté nature – le Parc Borély, le Parc entre terre et mer du Prado. À ne pas manquer : l’incontournable Château d’If, fortification française du XVIe siècle édifiée sous François Ier qui servit longtemps de prison – notamment Mirabeau y fut emprisonné - et rendue célèbre par Alexandre Dumas dans son roman  Le Comte de Monte-Cristo. Dans tous les cas il faut être « fada » pour vouloir aller plus vite qu’un tuk tuk au lieu de prendre le temps de savourer une authentique bouillabaisse ou encore de siroter nonchalamment un pastis accompagné d’une délicieuse tapenade.